A l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, « 20 Minutes » donne la parole à ceux qui n’ont pas les moyens de manger sainement, ni parfois même à leur faim…
Comment se nourrit-on lorsque l’on vit avec moins de 1.000 euros par mois? Autrement dit, lorsque l’on est pauvre, comme c’est le cas de 8,6 millions de personnes en France ? A l’occasion de la Journée mondiale du refus de la misère, 20 Minutes se penche sur cette réalité du mal-manger, analysée dans une nouvelle étude publiée par ATD Quart-Monde.
« On boit un verre d’eau, un verre de café »
Premier constat : si se nourrir est un besoin fondamental, ce n’est pas la première préoccupation des personnes pauvres. « Elles veulent avant tout payer leurs factures, leurs dettes et leurs loyers », assure le mouvement ATD Quart-Monde.
L’alimentation vient après et, bien souvent, le budget se limite à 1 euro par jour et par personne. Alors, au supermarché, « on calcule tout, on n’a pas le choix », explique Catherine**.
La priorité, c’est de nourrir les enfants. « On a un devoir envers eux, on est dans cette situation [de pauvreté], ils la subissent mais ils n’ont pas tout à subir. C’est notre faute s’ils sont comme ça… », souffle une maman. Une autre confie n’avoir jamais assez de nourriture pour se servir. Souvent, elle espère que l’un de ses enfants ne finira pas son assiette… Ce qui arrive rarement. Alors, « on boit un verre d’eau, un verre de café et puis… Les enfants, ils n’ont pas demandé à être là… Nous non plus, mais bon… »
Pour le reste de l'article, on fait clic ici.
Pour en savoir plus sur l'histoire de cette journée, on regarde.
Une association qui refuse la misère, c'est ici.
La Journée mondiale du refus de la misère est célébrée chaque 17 octobre partout dans le monde. En France, plus d'une centaine d'actions marquent l'événement. A Plaisir, en Île-de-France, musiques du monde et contes ont rythmé les animations autour de la culture, ou les cultures. Nous avons tous une culture et comme cela est enrichissant de la partager !
Ce blog va vous informer sur l'actualité francophone et ce qui se passe en Espagne en relation avec la francophonie.
Maison Celte
lundi 17 octobre 2016
jeudi 13 octobre 2016
Activités culturelles
Je vous propose deux activités que vous pouvez faire pendant votre temps libre.
Un concert de Anne Queffélec, c'est ici.
Considérée unanimement comme l’une des plus remarquables pianistes de notre temps, Anne Queffélec jouit d'une notoriété internationale et d’un rayonnement exceptionnel sur la vie musicale. Plus d'information, ici.
Voici un peu de théâtre, regardez ici la programmation.
Un concert de Anne Queffélec, c'est ici.
Considérée unanimement comme l’une des plus remarquables pianistes de notre temps, Anne Queffélec jouit d'une notoriété internationale et d’un rayonnement exceptionnel sur la vie musicale. Plus d'information, ici.
Voici un peu de théâtre, regardez ici la programmation.
Fête nationale en Espagne
Une visión de la notion de fête nationale:
Un extrait d'un article dont la totalité est ici.
Lorsque l'on demande aux Espagnols d'où ils sont, rares sont ceux qui déclarent être « espagnol » ou « espagnole ». Et quand ils disent qu'ils viennent d'Espagne, cela s'accompagne automatiquement de leur région d'origine : « andalou, manchega, valencien, catalan, canarien, asturien ». Cela surprend beaucoup de Latino-américains. La fierté nationale qui existe dans de nombreux pays d'Amérique latine n'est pas très répandue en Espagne. Selon les données de l'enquête « Défense Nationale et Forces Armées » réalisée en 2013 par le Centre de recherches sociologiques (CIS), un Espagnol sur cinq est peu ou pas du tout satisfait de son identité nationale. Cette absence de sentiment patriotique national s'est même accrue : de 12 pour cent en 2005 à 22 pour cent en 2013, soit presque le double.
Un article à propos de la polémique en Catalogne, c'est ici.
Un extrait d'un article dont la totalité est ici.
Lorsque l'on demande aux Espagnols d'où ils sont, rares sont ceux qui déclarent être « espagnol » ou « espagnole ». Et quand ils disent qu'ils viennent d'Espagne, cela s'accompagne automatiquement de leur région d'origine : « andalou, manchega, valencien, catalan, canarien, asturien ». Cela surprend beaucoup de Latino-américains. La fierté nationale qui existe dans de nombreux pays d'Amérique latine n'est pas très répandue en Espagne. Selon les données de l'enquête « Défense Nationale et Forces Armées » réalisée en 2013 par le Centre de recherches sociologiques (CIS), un Espagnol sur cinq est peu ou pas du tout satisfait de son identité nationale. Cette absence de sentiment patriotique national s'est même accrue : de 12 pour cent en 2005 à 22 pour cent en 2013, soit presque le double.
Un article à propos de la polémique en Catalogne, c'est ici.
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