Le petit (ou gros) coup de déprime que l'on ressent parfois à partir de la fin de l'après-midi du dimanche toucherait plus d'un Français sur deux. Et le "blues du dimanche soir" n'est pas forcément qu'un petit "coup de moins bien". Il est souvent associé à un vrai stress et à de l'insomnie. S'il n'est pas trop sévère, et associé avec un malaise profond au travail, il peut s'atténuer.
Le "blues du dimanche soir" toucherait 52% des Français, mais aussi 70% des Anglais et des Américains, selon un sondage réalisé par le site d'emploi Monster en 2008. Cette petite angoisse que l'on traîne souvent depuis l'enfance peut être atténuée par quelques mesures simples. Luce-Janin Devillars, psychanalyste et coach, auteur de "Etre mieux au travail", chez Michel Lafon, recommande par exemple de se pencher sur son agenda de la semaine dans des conditions confortables, en prenant le temps à l'avance d'identifier les événements stressants.
Il est important aussi de se caler pour le lundi des moments agréables, comme planifier un déjeuner avec une personne que l'on aime bien, ou une pause shopping. Et de l'écrire dans son agenda afin de "programmer notre cerveau" positivement.
Voici un article sur ce sujet, on y va.
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