On regarde l'histoire: Imaginez une ville où les gens n’ont plus goût à rien, au point que la boutique la plus florissante est celle où on vend poisons et cordes pour se pendre. Mais la patronne vient d’accoucher d’un enfant qui est la joie de vivre incarnée. Au magasin des suicides, le ver est dans le fruit…
On regarde ensemble la bande-annonce.
Regardons ensemble le site officiel du film. On y va.
Ce film a été fait à partir d'un livre.
On en parle.
Et bien sûr, cette famille est à l'image du magasin. Evidemment, il y a un certain standing à tenir devant la clientèle. Mishima et Lucrèce, les parents ; sont tristes et souvent de bien mauvaise humeur. Toutefois, ils sont très fiers de leurs deux premiers enfants : Vincent et Marilyn. Adolescents renfermés, déprimés, torturés. C'est-à-dire des enfants tout à fait adorables aux yeux de leurs parents. Mais le petit dernier, Alan, quelle tristesse ! Ou plutôt quelle joie de vivre !
Ce gamin, c'est une vraie boule d'énergie, de bonheur. Au grand désespoir de ses parents, qui craignent qu'il redonne le goût de vivre aux clients qui viennent pour mourir. Toujours joyeux, jamais énervant. Car il faut avouer que les gens pleins d'optimiste nous agacent un peu parfois.
Mais Alan, c'est naturel. Il insuffle du bonheur, que ce soit volontairement ou non.
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