"[...] quelque deux millions de photographies qui se trouvent aujourd’hui rassemblés dans les archives de la Stasi.
Afin de prendre des photos en toute discrétion, des appareils photo ont été spécialement conçus pour être dissimulés dans des pots de fleurs, des stylos, des vestes et des sacs. Certains d’entre eux étaient d’une taille si réduite que leur objectif pouvait être cousu derrière une boutonnière, tandis que le déclencheur tenait dans une poche.
Trente ans après la chute du mur, les images de cette période de surveillance étatique de masse nous offrent un regard sans précédent à la fois sur les personnes qui ont tenté de fuir à l’ouest et sur les activités de la Stasi.'
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Le harnais que la famille Holzapfel a utilisé pour passer le mur. Photographie d’illustration d’un article consacré à leur fuite. Anonyme : Réfugiés, RDA, fuite de la famille Holzapfel à l’ouest, 1965
Vincent Pellegrini, journaliste à franceinfo, assiste par hasard à la chute du mur de Berlin alors qu’il est étudiant.
Trente ans après la chute du mur de Berlin, Manuel Vimenet revient sur cette page exceptionnelle de l'histoire. Le photographe poitevin était en Allemagne de l'est, le 9 novembre 1989.
Vincent Pellegrini, journaliste à franceinfo, assiste par hasard à la chute du mur de Berlin alors qu’il est étudiant.
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