Et oui, c'est le 14 juillet, la fête nationale!
Revenons ensemble sur cette fête, il s'agit de la prise de la Bastille pendant la révolution française. Revenons un peu sur cette période historique notamment avec un bon résumé des origines intellectuelles de la révolution.
Revenons ensemble sur cette fête, il s'agit de la prise de la Bastille pendant la révolution française. Revenons un peu sur cette période historique notamment avec un bon résumé des origines intellectuelles de la révolution.
Les origines de la révolution:
A la fin du XVIIIe siècle, le peuple français est très attaché au principe de la monarchie. Le peuple aime son roi, comme le roi aime son peuple. Mais le tiers état critique de plus en plus les vices, les abus, les privilèges et les inégalités de l’absolutisme, surtout, l’inégalité devant l’impôt. Les philosophes de ce siècle ont aussi souvent critiqué la monarchie absolue.
Les critiques envers les excès du régime et les privilèges sont de plus en plus violentes.
Tout d'abord, la bourgeoisie, les parlamentaires, les négociants paient beaucoup d’impôts mais sont exclus des charges honorifiques.
Ensuite, les paysans, qui sont très pauvres et veulent un partage plus juste des taxes, des terres, réclament la fin des droits seigneuriaux et la propriété de leur terre.
N'oublions pas le peule des villes se révolte de plus en plus facilement, parce qu’ils sont menacés par le chômage et la famine.
Tout bascule lorsque Louis XVI monte sur le trône, les Français sont pleins d’espoir. Mais il est très indécis et se laisse influencer par sa femme, Marie-Antoinette, appellé par le peuple Madame Déficit. Les ministres des Finances suggérent des réformes indispensables, comme : libérer le commerce, réduire les énormes dépenses de la Cour, associer les trois ordres à la gestion des provinces, et, surtout, imposer égalemente les propriétaires nobles et roturiers.
La France est alors en crise, l'Amérique vient de se libérer, les richesses des collonies baissent de plus en plus, la situation économique est très critique.
La division de la société va aussi provoquer des tensions: depuis l’époque féodale, la société est divisée en trois ordres sociales: le clergé, la noblesse et le tiers état. Les deux premiers ordres ont des privilèges immenses, alors que, le tiers état, constitué par les paysans et la bourgeoisie urbaine, supporte l’ensemble des impôts qui deviennent chauque jour plus lourds.
Cette société a besoin de réformes.
Les symbole de la révolution:
La cocarde tricolore: la cocarde est un insigne militaire. En papier ou en tissu, elle symbolise la fête. Elle a trois colores : bleu, que symbolise la ville de Paris, blanche, le royauté, et rouge, que symbolise aussi la ville de Paris.
Le bonnet de coton symbolise la liberté retoruvée. Le 29 juin 1792, le roi est obligé de le coiffer. C'est partir de 1789, qu'un bonnet, amalgame de traditions mêlées du bonnet de la liberté antique des esclaves affranchis, du chapeau de la liberté bourgeoise et du bonnet phrygien des artistes, symbolise l'avènement de la liberté moderne.
A la fin du XVIIIe siècle, le peuple français est très attaché au principe de la monarchie. Le peuple aime son roi, comme le roi aime son peuple. Mais le tiers état critique de plus en plus les vices, les abus, les privilèges et les inégalités de l’absolutisme, surtout, l’inégalité devant l’impôt. Les philosophes de ce siècle ont aussi souvent critiqué la monarchie absolue.
Les critiques envers les excès du régime et les privilèges sont de plus en plus violentes.
Tout d'abord, la bourgeoisie, les parlamentaires, les négociants paient beaucoup d’impôts mais sont exclus des charges honorifiques.
Ensuite, les paysans, qui sont très pauvres et veulent un partage plus juste des taxes, des terres, réclament la fin des droits seigneuriaux et la propriété de leur terre.
N'oublions pas le peule des villes se révolte de plus en plus facilement, parce qu’ils sont menacés par le chômage et la famine.
Tout bascule lorsque Louis XVI monte sur le trône, les Français sont pleins d’espoir. Mais il est très indécis et se laisse influencer par sa femme, Marie-Antoinette, appellé par le peuple Madame Déficit. Les ministres des Finances suggérent des réformes indispensables, comme : libérer le commerce, réduire les énormes dépenses de la Cour, associer les trois ordres à la gestion des provinces, et, surtout, imposer égalemente les propriétaires nobles et roturiers.
La France est alors en crise, l'Amérique vient de se libérer, les richesses des collonies baissent de plus en plus, la situation économique est très critique.
La division de la société va aussi provoquer des tensions: depuis l’époque féodale, la société est divisée en trois ordres sociales: le clergé, la noblesse et le tiers état. Les deux premiers ordres ont des privilèges immenses, alors que, le tiers état, constitué par les paysans et la bourgeoisie urbaine, supporte l’ensemble des impôts qui deviennent chauque jour plus lourds.
Cette société a besoin de réformes.
Les symbole de la révolution:
La cocarde tricolore: la cocarde est un insigne militaire. En papier ou en tissu, elle symbolise la fête. Elle a trois colores : bleu, que symbolise la ville de Paris, blanche, le royauté, et rouge, que symbolise aussi la ville de Paris.
Le bonnet de coton symbolise la liberté retoruvée. Le 29 juin 1792, le roi est obligé de le coiffer. C'est partir de 1789, qu'un bonnet, amalgame de traditions mêlées du bonnet de la liberté antique des esclaves affranchis, du chapeau de la liberté bourgeoise et du bonnet phrygien des artistes, symbolise l'avènement de la liberté moderne.
Marianne est une allégorie, elle représente la République Française et la défense de ses valeurs : Liberté, Egalité, Fraternité. L’origine de ce prénom est révélatrice de la dimension symbolique et démocratique forte de cette icône.
Le prénom Marianne provient de la contraction de Marie et Anne, deux prénoms très répandus au 18e siècle parmi la population et notamment dans les milieux populaires, surtout porté par les filles de la campagne qui servaient comme bonnes dans les maisons bourgeoises. Il faut savoir que les aristocrates, contre-révolutionnaires, affectionnaient peu ce prénom qu’ils jugeaient trop populaire et vulgaire. Les révolutionnaires ont donc adopté ce prénom également pour marquer le changement de régime.
Les premières représentations d'une femme à bonnet phrygien apparaissent sous la révolution française. Un bonnet pratiquement identique coiffait les marins et les galériens de la Méditerranée, les révolutionnaires venus du Midi les amenèrent à Paris.
Sous la IIIème République, on retrouve Marianne sous la forme de statue ou de buste, particulièrement dans les mairies, représentation directe de la République. Elle porte un bonnet phrygien pour privilégier le caractère révolutionnaire, qui est parfois jugé comme un appel à la révolte, il est remplacé par un diadème ou une couronne, pour donner un caractère un plus sage à la Marianne.
A partir de 1789 des personnages féminins sont représentés par l'intermédiaire de tableaux ou de sculptures, ils portent les valeurs de la liberté et de la révolution. Ils sont parfois accompagnés de pique ornée du bonnet phrygien, les femmes de la liberté peuvent être drapées d'une longue robe tunique, elles sont solennelles ou conquérantes.
Un décret de 1792 dispose que "le sceau de l'état serait changé et porterait pour type la France sous les traits d'une femme vêtue à l'Antique, debout, tenant de la main droite une pique surmontée du bonnet phrygien, ou bonnet de la liberté, la gauche appuyée sur un faisceau d'armes, à ses pieds un gouvernail". On rencontre également à ses pieds les tables de la loi et la Déclaration des Droits de l'Homme présentées au monde.
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