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lundi 24 juin 2013

Conférence et film à l'institut français: Jorge Semprun

CYCLE HOMMAGE : UN RECORRIDO POR EL CINE DE JORGE SEMPRÚN

Du mercredi 26 juin au vendredi 5 juillet 2013.
19:00h.
Lieu : Círculo de Bellas Artes.



L'Institut français d'Espagne à Madrid collabore au Cycle en hommage au cinéaste Jorge Semprún au Círculo de Bellas Artes de Madrid.
Reprenant les films majeurs de ce scénariste clef dans l'histoire du cinéma européen, chaque projection sera précédée d'une conférence où les intervenants reposeront le contexte historique, artistique et politique des oeuvres. 
[entrée 5,5 € - abonné, plus de 65 ans, carnet joven, élève de l'Institut français 4 €]
[abonnement aux 6 films du cycle 20 €]
Organisé par l'Université Carlos III de Madrid et le Círculo de Bellas Artes, dans le cadre de l'activité de l'Escuela de las Artes
Avec la collaboration de la Filmoteca Española et de l'Institut Français Madrid.





Quel meilleur témoin que Jorge Semprun pour analyser l'évolution de la vie politique en Europe ? L'écrivain espagnol ne s'est pas contenté d'être un intellectuel tout au long du XXe siècle, il s'est toujours engagé physiquement. Engagé dans la Résistance en France, engagé dans le Parti communiste espagnol pour lutter contre le régime de Franco. Survivant du camp de concentration de Buchenwald, ministre de la Culture dans le premier gouvernement espagnol de l'après-dictature. A 85 ans, riche de cette expérience exceptionnelle, Jorge Semprun a accordé un long entretien à euronews.





Mercredi 26 juin 19:00h
CONFÉRENCE Carmen Claudín "Politique et clandestinité dans l'Espagne franquiste : le reard de Semprún dans La guerra ha terminado" + La guerre est finie (19:30) 19:30h
LA GUERRA HA TERMINADO (La guerre est finie) France / Suède, 1966, 121’, VOSE. Réalisateur: Alain Resnais,
Scénario: Jorge Semprún Int.: Yves Montand, Ingrid Thulin, Geneviève Bujold
En 1965, Diego, un militant du Parti communiste espagnol vit en exil à Paris. Régulièrement, il passe la frontière sous des identités d'emprunt assurant ainsi la liaison entre les militants exilés et ceux restés en Espagne. De retour d'une mission difficile, Diego se prend à douter du sens de son action et des moyens mis en œuvre. Sa confrontation avec les jeunes militants de gauche, qui deviendront les acteurs de Mai 68, est prémonitoire de l'évolution des formes de lutte.


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