Maison Celte

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Kérhinet

mardi 18 septembre 2012

Le 26 quai des Orfèvres

36, quai des Orfèvres.
L'adresse est mythique : de Landru à Jacques Mesrine, le siège historique (1912) de la police judiciaire parisienne et de sa brigade criminelle a vu défiler les plus grands criminels et les plus fins détectives de la police. A l'occasion du centenaire de la crim', le fameux 36, quai des Orfèvres ouvre pour la première fois ses portes au public dans le cadre des Journées du patrimoine ce week end.



Retrouvez un article complet, ici.

Le légendaire «36», qui a vu passer tant de «clients» célèbres, du tueur en série Marcel Petiot, alias le Dr Petiot, à Try Paulin, violeur de vieilles dames, en passant par les frères Zemmour, derniers «seigneurs de la pègre», ou les terroristes d'Action directe, Rouillan et Ménigon. La «Boîte» (comme l'appellent entre eux les anciens) était de toutes les grandes affaires, de l'arrestation des ravisseurs du baron Empain à l'enquête sur la mort du prince de Broglie. C'était une époque où les «grands flics» n'avaient pas encore été supplantés par les «petits juges». Les vrais Maigret s'appelaient Bouvier, Ducret, Jobard. Sans oublier leur collègue écrivain, Roger Le Taillanter, l'ancien patron de la mondaine.

Mais c'est aussi un film.

Synopsis:

Depuis plusieurs mois, un gang de braqueurs opère en toute impunité avec une rare violence. Le directeur de la PJ, Robert Mancini a été parfaitement clair avec ses deux lieutenants les plus directs, Léo Vrinks, patron de la BRI (Brigade de recherche et d'intervention), et Denis Klein, patron de la BRB (Brigade de répression du banditisme) : celui qui fera tomber ce gang le remplacera à son poste de grand " patron " du 36, quai des Orfèvres. La lutte est ouverte entre ces deux grands flics, autrefois amis, qu'aujourd'hui tout sépare : leurs vies, leurs méthodes, leurs équipes et une femme, Camille Vrinks...



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